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Vaste question, brève réponse

photo Marion Perrot fondatrice du projet Libellules,
Allégorie de l’envol des Libellules (admirez le montage photo)

Taddaa… Ce visage sympathique et avenant, c’est le mien : Marion Perrot, un nom aussi commun que mon profil.

J’ai un passé pro de journaliste puis de communicante pour des asso d’intérêt général mais je vois avant tout que j’ai le profil très typique de ce que l’on projette sur la ménagère de moins de 50 ans. Regardez un peu.

Je suis une femme née à la fin des années 80, mariée, deux enfants, blanche, hétéro, pas de conflit avec mon genre.

Je suis issue de la classe moyenne dite « supérieure » (tu vois le côté hautain de l’intitulé ?). J’ai grandi dans un lotissement d’une ville moyenne de province. J’ai fait des études après le bac et vis aujourd’hui en zone urbaine.

Pas de handicap visible, jamais été systématiquement discriminée pour mon physique, ce qui ne m’empêche pas de nourrir quelques complexes par-ci par-là.

Quoi d’autre ?

Oh, comme c’est original pour une femme de mon époque : je suis préoccupée par l’écologie et le féminisme tout en portant une bonne part de la charge éducative et mentale.

Je suis aussi une apprentie alliée, bien intentionnée pour lutter contre les discriminations mais probablement non consciente de mes sombres réflexes. Je crains ne pas avoir toujours les bons mots et les bons gestes.

En ce qui concerne les imaginaires jeunesse, je ne suis pas experte. Ni du livre, ni des dessins animés, ni des podcast enfants, ni des comptines, ni des imaginaires. Je suis une cliente lambda et irrégulière qui tente de faire au mieux mais fais surtout avec ce qui s’inscrit facilement dans mon quotidien.

Côté éducation, j’ai des principes… que j’adapte. Montessori, les méthodes dites « positives », Faber et Mazlish ou encore les pédagogies Freinet et compagnie m’attirent et me mettent au défi. Mais de façon plus concrète, je cuisine une sorte de blougi blouga absolument imparfait avec tout cela.

Je précise (une partie) de mes imperfections car à l’arrivée de mon premier, j’ai essayé de suivre toutes les injonctions reçues en tant que femme, mère, épouse et working girl. C’était un poil fatiguant impossible à tenir ce qui m’a amené à faire pause, arrêter de mettre ma force de travail pour les projets des autres et tenter ma propre aventure entrepreneuriale.

Le projet Libellules est ainsi né, pensé avec mes envies, mon passé professionnel et mes zones de confort.

Autrement, j’aime bien revendiquer mes origines normandes quand mes réponses entremêlent du oui et du non. Cela n’a rien à voir avec mon lieu de naissance, mais ce bouclier en format cliché m’évite de fredonner « j’aime les gens qui doutent » avec un tremolo d’Anne Sylvestre.

D’ailleurs, côté doute, j’hésite entre « fondatrice du projet Libellules » et « exploratrice des imaginaires jeunesse » pour mon intitulé Linkedin.

Mais ce qui ne fait aucun doute, c’est que j’ai très très hâte de déployer le projet avec toi, dans toute sa grandeur (cœur avec les mains).

Alors, tu me rejoins dans cette épopée ?

Embarque avec moi dans le projet Libellules

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