
Le projet Libellules en bref
Son intention : favoriser l’essor de récits jeunesse sensibles, loin des clichés, stéréotypes et représentations pas terrible dans notre rapport à soi, aux autres, au vivant.
Les trois étapes pour y parvenir
1️⃣ L’enquête : explorons l’influence des récits pour enfants et débusquons les enjeux et travers de ces histoires dans le podcast du projet Libellules. [👋 coucou, nous en sommes au lancement]
2️⃣ Les causettes : dans un atelier de discussions, parlons de nos vécus et visions de ces imaginaires jeunesse avant d’explorer nos zones de pouvoir et d’influences. A la fin, on repart chacun.e avec des actions faciles à déployer pour démultiplier des récits plus chouettes, à son échelle.
3️⃣ La sélection : Je rêve de concevoir ensemble un abonnement ou autre solution parfaite, pensé par une équipe pluridisciplinaire, qui favoriserait l’émerveillement de nos bambins en allant piocher, dans la foisonnante littérature existante, des récits respectueux de soi, des autres et de la nature.

Pourquoi ce nom

?
Complexe, agile, poétique, une Libellule est aussi un bio-indicateur : sa présence indique que tu es sur une zone humide en bonne santé.
Rencontrer des libellules, c’est ainsi se trouver dans un écosystème précieux, qui nous aide de multiples manières face aux enjeux climatiques. C’est un lieu où l’on trouve une grande diversité d’espèces animales et végétales. Voir une libellule, c’est donc être sur un terrain qui contribue activement à un monde vivant et vivable.
Mettre des libellules dans sa bibliothèque, c’est pour moi offrir une belle variété de récits qui participent, chacun par leur singularité, à nous offrir un modèle de monde plus vivant et plus vivable*.
Classe, non ?
* « Vivre dans un monde vivable », c’est le slogan d’une campagne de 2017 de France Nature Environnement, à l’époque mon employeur. Je reprends la formule car je la trouve terriblement adaptée.
La suite du projet Libellules t’intrigue ?
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